Bonjour Smiling Ju ,
OUFFFFFF quel nouvelle .... cest un peu plate d'apprendre ca , compte tenu de la volonté que vous avez a vouloir un bébé ... ecoute , jai aussi un petit kyste sur un ovaire ... mais le medecin me disais que ca ne dérangais pas , par contre ca pouvais jouer dans mon infertilité ... mais que c'étais peut etre pas ca ... blablbablab
jai fait une petite recherche pour toi ...... jespere que ca pourras t'éclairer , mais tu sais peut importe ce quil te dise ... ne baisse pas les bras ... après tout on a deja dis a des gens quil allais mourir et finalement ils ont eue biens des années avant que ca narrive , les docteurs se sont deja trompé de diagnostique ... ne baisse jamais les bras dans de tel circonstances et GO ....
IL FAUT Y CROIRE
sans trop y pensé
IHIHIH
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SOPK : Syndrome des ovaires polykystiques
Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), parfois appelé aussi syndrome de Stein-Leventhal, est considéré comme la cause la plus fréquemment responsable des dysfonctionnements ovariens chez les femmes en âge de procréer. En tant que tel, il constitue clairement une très importante cause d’infertilité et mérite d’être abordé en détail.
En cas de SOPK, les ovaires sont élargis et leur revêtement externe devient lisse mais plus épais que sur les ovaires sains. Cette surface est couverte de nombreux petits kystes, inoffensifs en eux-mêmes mais capables d’entraîner une aménorrhée ou une oligoménorrhée et de provoquer par conséquent une infertilité.
Caractéristiques cliniques
Le critère diagnostique permettant d’identifier un SOPK est l’observation par échographie des ovaires polykystiques. Ce résultat peut être accompagné d’un vaste ensemble de signes et symptômes, dont la principale caractéristique est une hyper-androgénie (excès d'hormones mâles, les androgènes). Les examens font habituellement ressortir un taux sérique de LH (hormone lutéinisante) supérieur à 10 U.I./l et un taux sérique de testostérone potentiellement élevé.
Signes et symptômes du SOPK :
Taux de LH élevés (LH sérique > 10 U.I./l)
Taux de FSH faibles ou normaux (s’ils sont normaux, ils restent probablement inférieurs au seuil nécessaire au développement normal des follicules)
Rapport LH/FSH élevé (> 2/1 ou 3/1)
Taux d’œstrogènes / de testostérone élevés
Ovaires élargis, polykystiques
Nombreux follicules immatures (mesurant généralement 2 à 8 mm)
10 follicules/ovaire
Règles irrégulières ou anovulation
Hirsutisme et acné (dus à un surplus d’androgènes)
Obésité
Le SOPK est le plus souvent associé à des symptômes d'hyperandrogénie tels que l’hirsutisme et l’acné mais il n’est pas indispensable que ces symptômes soient présents pour que le diagnostic puisse être posé. Les séborrhées (peau grasse) sont également courantes.
SOPK et fertilité
Les femmes atteintes de la forme la plus légère du SOPK peuvent ne présenter aucune anomalie menstruelle et ovuler normalement mais ont souvent besoin de plus de temps que la normale pour parvenir à une grossesse et encourent un risque plus important de fausse-couche.
Les femmes atteintes d’un SOPK modéré connaissent des irrégularités menstruelles, telles que l’oligoménorrhée ou l’aménorrhée secondaire, et une absence d’ovulation.
La forme la plus sévère du SOPK est caractérisée par une obésité, un hirsutisme, une aménorrhée et une infertilité.
Prise en charge du SOPK
Le type de prise en charge du SOPK varie selon que la femme souhaite ou non procréer. Il suffit parfois, pour rétablir le cycle ovulatoire, d’appliquer des mesures simples telles qu’une perte de poids.
Chez les femmes ne souhaitant pas procréer, un traitement symptomatique peut être administré. Un contraceptif oral peut être utilisé pour rétablir la régularité menstruelle et des estrogènes ou des anti-androgènes, comme l’acétate de cyprotérone, pour traiter l’hirsutisme ou l’acné.
Chez les femmes souhaitant procréer, le traitement initial est généralement constitué de citrate de clomifène à 50-110 mg/jour pendant 5 jours chaque mois (voir la partie consacrée au traitement des femmes). Ce traitement permet de rétablir les menstruations avec une ovulation chez 70 % des femmes ; 30 % d’entre elles seront enceintes dans les trois premiers mois du traitement. Les taux de grossesse restent malgré tout faibles et l’incidence des fausse-couches est élevée.
En l’absence de grossesse après six mois d’essai du clomifène, il est possible d’entreprendre un traitement par gonadotrophines, parfois associé à un analogue de la GnRH de façon à bloquer la sécrétion de LH et à réduire ainsi le risque de fausse-couche. Ce traitement est à utiliser avec beaucoup de précautions chez les patientes atteintes du SOPK dans la mesure où elles sont particulièrement sensibles à l’apparition d’un syndrome d’hyperstimulation ovarienne, mais également dans la mesure où une même dose de gonadotrophine peut provoquer des réactions très différentes selon les cycles.
Pour réduire autant que possible la fluctuation de ce rapport dose-efficacité, il est conseillé d’utiliser des préparations de FSH pure plutôt que des extraits impurs tels que la gonadotrophine ménopausique humaine (hMG) (voir le module 2). Pour rétablir une ovulation unique sans engendrer d’hyperstimulation ovarienne, il est important de pouvoir procéder à un dosage aussi précis que possible de la gonadotrophine et d’utiliser donc exclusivement des préparations de la plus grande pureté
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voilà ... a bientot